jeudi 19 septembre 2013

Niten ou le Crépuscule de Musashi Miyamoto (Projet Fantasme)

Pour des raisons de longueurs de texte qui m'empêchent de mettre en ligne sur mon OverBlog mon dernier "billet", j'ai décidé de reprendre sur ce blog-ci (en même temps, c'est sa vocation première) un "projet fantasme" sur Musashi Miyamoto !
http://www.musashi-miyamoto.net/images/musashi-art4.jpg
Les origines du projet viennent de mon envie de faire un Machinima via le jeu Yakuza, ou plutôt LES jeux, car l’idée serait de mélanger les deux spin-off, Yakuza Kenzan ! qui se déroule sur l’ère Edo (1603/1868) et où l’on joue un ancêtre du héros Kazuma Kiryû qui se révèle être Musashi Miyamoto. Mais aussi le jeu Yakuza Dead Souls où l’on affronte, tel un "Resident Evil", des zombies…

En gros, je voulais faire un Musashi Miyamoto contre les Zombies !
http://gamesetwatch.com/kenzan_musashi.jpghttp://cdn.gamerant.com/wp-content/uploads/Yakuza-Dead-Souls-Release-Date.jpg
Puis, en mettant en place le contexte scénaristique du projet (je voulais, dés le départ, débuter mon scénario APRÈS le duel sur l’île de Ganryû. Donc, à la fin du roman de Yoshikawa, pour couvrir les trente dernières années de la vie de Musashi), je suis parti finalement sur un anti-biopic crépusculaire, tel mes westerns et chambara préférés.

Le Générique de début sera une succession d’images des peintures et sculptures du maître-samouraï.
http://www.musashi-miyamoto.net/images/musashi-art2.jpghttp://www.musashi-miyamoto.net/images/musashi-art3.jpghttp://www.musashi-miyamoto.net/images/musashi-art7.jpg
Le film sera découpé en cinq chapitres, chacun portant les mêmes noms que le Traité des 5 Roues (Terre/Feu/Eau/Vent/Vide).

Mais ce film fait surtout l’objet de grandes interrogations de ma part…

1 : L’Ouverture sur l’île de Ganryû
J’ai trois idées ;
- la première est de débuter le film AVANT le duel ; On y voit Musashi en train de tailler une rame de bateau pour en faire un sabre. Puis il inscrit sur le côté gauche de son bokken de fortune "Bokken utilisé par Miyamoto Musashi sur l’Île de Ganryû", puis sur le côté droit, les dimensions du bokken. Puis le plante dans l’eau et descend du bateau pour poser pied sur l’île… puis Générique !
- la deuxième est d’ouvrir le film APRES le Duel ; On voit Musashi face au cadavre de Kôjirô Sasaki, puis salue selon les codes tous les témoins, plante son bokken sur le sol, tel une pierre tombale, puis remonte sur son bateau qui vogue… puis Générique !
- la dernière idée est de débuter PENDANT le Duel ; On y voit Kôjirô face à Musashi, qui descend du bateau. Puis les deux se préparent au combat, puis vient la première passe d’arme (Kôjirô coupant le bandeau de Musashi), puis la dernière passe, celle où Musashi fracasse le crâne de Kôjirô… puis Générique !

2 : Le Rôle de Musashi
Soit je fais une version fidèlement historique du personnage, c’est-à-dire un individu au visage rongé par la syphilis. Donc, comme acteur, je prendrais Beat’ Takeshi. Faire de Musashi un personnage laid, est original en soi, mais je me dis aussi que faire trahir la réalité pour coller à la légende n’est pas une mauvaise idée, non plus… Prendre Ken Watanabe pour le rôle de Musashi (sachant qu’il a incarné Kôjirô dans le TV-Drama de 1994) serait aussi excellente que cliché. J’hésite sincèrement entre Watanabe, Kôji Yakushô et bien évidemment Hiroyuki Sanada (là, on touche au comble du cliché… mais je peux me tromper), le film se déroulant sur une trentaine d’années. 
Mais celui qui aurait été MON Musashi, qui aurait incarné à merveille ma vision assez noire, crépusculaire et iconoclaste de la légende moribonde est Yuya Uchida, mais étant très très âgé (il est quasiment le dernier survivant d'une race en voie d'extinction), cela ne pourrait pas se faire... 

3 : La Fidélité des Événements contre l’anti-Légende
Cela rejoint justement le casting pour Musashi. Est-ce que je dois jouer la carte de la réalité des faits, aller jusqu’au reportage (chose à laquelle, je me refuse), ou bien alors faire comme la décréter John Ford dans Liberty Valence ; "Imprimons la légende plus belle que la réalité" ?
Est-ce que je dois tout couvrir (la création de son école, ses années comme instructeur), ce qui ferait de ce film un réel biopic (intéressant dans l’idée, mais pas mon parti-pris sincère), ou bien je me permets d’être le plus elliptique possible (c’est-à-dire, taire certains événements, pour me concentrer sur l’errance mélancolique de Musashi) ?
Car mon Musashi devient sur les trente dernières années un mercenaire couchant avec des prostituées, tuant sur commande et sans la noblesse du duel (un authentique tueur à gages), qui sera atteint par le démon du jeu tel Doc Holliday, qui verra les gens qu’il aime mourir, participera sans aucune grandeur à l’Histoire (il ne devient pas l’Instructeur du Shôgun, ne tue pas Amakusa)… Puis, une rupture d’anévrisme lui donnera paradoxalement la force de se réinterroger et finira par aboutir à l’écriture de son Traité des 5 Roues. En somme, un film Hellmanien !

4 : Musashi doit-il, ou non, coucher avec Ôtsu ?
LA grande question… car si une tension romantique existe entre Ôtsu et Musashi, il est bien connu (à la grande exception de la version de Mizoguchi, qui se terminait par le mariage des deux amis d’enfance) que cela ne reste que platonique. Etant donné que la plupart des œuvres se basent sur le roman de Yoshikawa, on ignore ce qui se passe après. Etant donné que mon Musashi est un hédoniste qui cherche la purification dans la damnation, mon idée première est que la première relation charnelle qu’il aura sera avec la seule femme qu’il n’ait jamais aimé. Un acte d’adieu pour signifier qu’il devra vivre jusqu’au bout son errance vers la Voie…
Mais je me dis que ce serait plus violent qu’après l’île de Ganryû, il continuerait sa route, tel Alida Valli marchant sans regarder Joseph Cotten à la fin du 3ème Homme, sans un mot, ni un regard envers son seul amour… et que la seule relation charnelle "équilibrée" serait après son attaque cérébrale. Il serait soigné par une ancienne geïsha déchue, une jeune veuve qui lui donnerait le sein, tel Pera envers Cimon. Un acte d’amour qui lui donnera la force de se recueillir dans une grotte pour y écrire son grand Traité…

Car la seule véritable chose dont je suis sur pour ce fantasme cinématographique est que je tiens vraiment à conclure sur Musashi écrivant l’avant-propos de son Traité. Une magnifique introduction sous forme d'une confession dont je me permets de vous le mettre dans son intégralité. Idéale pour conclure ce scénario et ce "billet" :

"J'ai voulu exprimer, pour la première fois, en un livre la Voie de ma tactique nommée École de Niten dont j'ai poursuivi l'élaboration durant de nombreuses années. C'est ainsi qu'au début d'octobre de la vingtième année de l'ère Kan-ei (1643) je me suis rendu au mont Iwato situé dans la province Higo en Kyushu. J'ai salué le Ciel, me suis prosterné devant Kannon et me suis assis face aux Bouddha.
Je suis un samouraï né dans la province Harima, et mon nom est Shimmen Musasgi-no-kami, Fujira-no-genshin. Je suis âgé de soixante ans. J'ai prêté attention aux Voies de la tactique dès ma jeunesse et j'eus mon premier duel à l'âge de treize ans. Pour ce premier duel, mon adversaire était Arima Kihê, bon sabreur de l'école Shintô que j'ai vaincu. A l'âge de seize ans, je vainquis Akiyama, fort au sabre et originaire de la province de Tajima. A l'âge de vingt et un ans, je me suis rendu à Kyoto et y ai rencontré les meilleurs sabreurs du Japon. Je les ai rencontré plusieurs fois en duel sans jamais être vaincu par aucun d'entre eux. Puis j'ai pérégriné à travers les provinces où j'ai rencontré plusieurs sabreurs de diverses écoles et bien que j'ai été jusqu'à avoir une soixantaine de duels avec eux, je n'ai jamais été vaincu par aucun. Tout cela se passa alors que j'avais de treize à vingt neuf ans environ.
Mais passé le cap des trente ans, je me mis à réfléchir sur ma vie et pensais : "Mes victoires ne provenaient pas de la supériorité de ma tactique, mais plutôt de qualités innées chez moi grâce auxquelles je ne me suis pas écarté des meilleurs principes. Peut-être bien aussi que mes adversaires manquaient de tactique". Ainsi je décidais d'approfondir encore plus la Voie et continuais de me forger matin et soir et enfin, parvenu à la cinquantaine, l'unification avec la Voie de la tactique s'est faite d'elle-même en moi.
Depuis ce moment-là je n'ai plus aucune Voie à rechercher et le temps a passé. J'ai appliqué les principes de la tactique à tous les domaines des arts. En conséquence, dans aucun domaine je n'ai de maître. Bien que j'écrive ce livre aujourd'hui, je ne fais aucun emprunt au bouddhisme ni aucun au confucianisme. Je ne me suis inspiré d'aucun récit militaire ancien ni d'aucun ouvrage ancien de tactique. J'ai voulu exprimer la raison d'être et l'esprit réel de notre école en y faisant refléter la Voie du ciel et Kannon. J'ai saisi mon pinceau à quatre heures et demie du matin, à l'aube du dix octobre, et je commençai d'écrire."

Puis Cut !

Dédié à Aurélien "Sanjurô" Gouriou-Valès !

samedi 14 mai 2011

Mes Réalisations Youtube

Si l'écriture d'un projet est primoridale, le tournage essentielle, toute la post-production a son importance également. Remonter un film, réaliser un clip à partir de photos est un excellent apprentissage pour le montage.


Voici des vidéos que j'ai fait pour Youtube !

Light of Dawn
Musique : Light of Dawn (Jan Hammer)
Base : Photos d'exploitation du DTV Gaddamn !! (scénarisé par Takashi Ishii)

John Constantine : Ange ou Démon ?!
Musique : Ange ou Démon (Alain Kan)
Base : Couvertures de la série Hellblazer

The Black Angel
Musique : China Umi (Moonriders)
Base : Illustrations du gekiga original de Takashi Ishii

Jet-Lag Teaser
Musique : Going Back in Japan (EX)
Base : Photos de Tournage prises par Florian Hien

Yakuza-Eïga Blues
Musique : Black Sheep (Jan Hammer)
Base : Divers captures d'images de polars japonais

Universe
Musique : Dead Fish (New Musik)
Base : Histoire courte de Taïyô Matsumoto publiée dans le recueil 100

Tonkam's Requiem
Musique : Les Armées de la Nuit - version chantée + version instrumentale (Taxi Girl)
Base : Photos prises lors de la fermeture de la librairie Tonkam Bastille

Landed
Musique : Interface (The Human League)
Base : Histoire courte de Keiichi Koike publiée dans le recueil Heaven's Door

The Angel Guts (First Minutes of a Upcoming Movie)
Musique : Sumie no Kunie (Sadistic Mika Band)
Base : Tome II du gekiga original de Takashi Ishii

La Sentenza
Musique : Masked Ball (EX) + Berlin ka ra no Rehearsal - Lesson 1 (EX, feat Yusaku Matsuda)
Base : Chapitre du manga Bankeï in New-York de Jinpachi Mori et Jirô Taniguchi

The Domino's Way
Musique : Planet Maetel (Nozomi Aoki)
Base : "Quick Girl", Sketch de l'émission Vermilion Pleasure Night

The Hanafuda Gambler
Musique : Cigarettes & Coffee (Otis Redding)
Base : Photos d'exploitation du film La Fleur Pâle de Masahiro Shinoda

The Domino's Way 2
Musique : Black Country Rock (David Bowie)
Base : "Quick Girl", Sketch de l'émission Vermilion Pleasure Night

Driver of the Silent Age
Musique : Sons of the Silent Age (David Bowie)
Base : Photos d'exploitation du film Drive de Nicolas Winding Refn

The Silent Night (A Sin City's Christmas Tale)
Musique : Neuköln (David Bowie)
Base : Histoire courte de la série Sin City de Frank Miller

Ville Nouvelle
Musique : Bande Originale de Birdy (Peter Gabriel)
Base : Divers extraits de films de Takashi Ishii
 


The Nightcaller
Musique : Nightcall (Kavinsky)
Base : Extrait du film Alone in the Night de Takashi Ishii


The Lonesome Killer
Musique : Bande-son initiale
Base : Extraits du film Gonin de Takashi Ishii

Blame to the Killy !
Musique : Overload (Berlin)
Base : Illustrations de Blame ! de Tsutomu Niheï

Under the Edge
Musique : Le Chalutier Fantôme (François de Roubaix)
Base : Chapitre de Blame ! de Tsutomu Niheï

The Forbidden Garden
Musique : Puzzle - 2ème Mouvement (Michel Berger)
Base : Prologue de Full Flower Garden d'Akihiro Yamada



The Night Walking Days
Musique : French Reagge (Berlin)
Base : Divers captures d'images



Cat's Eye in Paris by Night
Musique : Bande-Originale de Drive (Cliff Martinez)
Base : Irma Vep d'Olivier Assayas

mardi 22 mars 2011

Bande Originale vol.1 : Dangerous Days

Pour ce billet assez spécial, j'ai décidé de reprendre de mon autre blog l'idée de B.O. idéale pour un film encore en état de projet (seront repris dans ce blog les précédents The Ivory Devil et Red & Blue, mais améliorés et plus complètes). La B.O. qui va suivre concerne un slasher, ou plutôt un anti-slasher. Tellement dégouté par les films d'horreur qui se ressemblent tellement (entre les sous-Scream, les sous-Hostel, les sous-Saw et j'en passe... Le seul slasher original, ces derniers temps, est Mandy Lane) que j'ai repris les principes des 3 règles émises dans le 1er Scream (N°1 : Ne jamais avoir de rapports sexuels ; N°2 : Ne jamais boire, ni se droguer ; N°3 : Ne jamais dire "Je vais revenir"...) pour les faire se transgresser. Donc, les survivants ne seront pas ceux désignés au prime abord. Ainsi est né Dangerous Days* !

(Pour des raisons évidentes de surprises, je vous mets la B.O. dans sa chronologie narrative, mais sans en préciser le contexte) :

Awakening (Jefferson Starship)

Casting Shadows (John Howard)
C'est la chanson-thème de La Chasse Sanglante avec Peter Fonda et William Holden.

I Don't depend on You (The Human League)

Don't fear the Reaper (Blue Oyster Cult) 

Airport (The Motors)

Summer Night City (ABBA)

Black Country Rock (David Bowie)

Could'it be Magic (Barry Manilow)

The Funeral Party (The Cure)

Lost like this (Oingo Boingo)

I'm Sorry (Brenda Lee)

Guiding Light (Television)

International Heroes (Kim Fowley)

Le Fou Garou (Christophe)

The Chain (Fleetwood Mac)

Strawberry Fields (The Runaways)

(me manque hélas, pour des raisons de droits et de disponibilités Dr Killjoy de The Quick et deux autres chansons encore indéterminées)

Dans mon cœur, mon projet sera :
- Une relecture scorsesienne d'Hélène & les Garçons
- Un slasher existentialiste à la Wenders
- La rencontre entre Dario Argento et Michelangelo Antonioni
- Manhunter mélangé à The Social Network
- Une version "Teen" du New-York 2h du Matin de Ferrara

Outre le caractère transgressif du genre, c'est vraiment pour cette B.O. que j'ai envie de faire ce slasher (pourtant pas mon genre préféré au monde).

*Dangerous Days fût le titre de travail de Blade Runner.

jeudi 17 mars 2011

Un Actrice : Aura Coben

Avec ce type de billets, je décide de rendre hommage à un acteur, une actrice, enfin un collaborateur précieux et un ami très cher.

Pour ce premier billet, je tiens à vous parler d'une jeune actrice aussi talentueuse que prometteuse ; Aura Coben. Actrice fétiche de la jeune réalisatrice Leah Marciano, elle irradie de sa beauté et de son charisme, toutes droites sorties d'un manga. Pour la bio, je vous mets celle écrite pour la présentation de sa première pièce en tant que metteur-en-scène Partage de Midi :

"Passionnée par le théâtre depuis sa plus tendre enfance, Aura prend des cours de théâtre et de danse dans différents cours privés et conservatoires parisiens. Elle entame par ailleurs un travail théâtral avec Monsieur Luc Charpentier au Studio Théâtre de l’Alambic.
Après un bac littéraire théâtre au Lycée Victor Hugo de Paris, Aura poursuit sa formation théâtrale au sein du Conservatoire d'Art Dramatique du 15ème arrondissement sous la direction de Liza Viet. Lors de ce cursus, notre jeune comédienne participe au spectacle Dépendance pour le célèbre théâtre du Rond Point puis joue dans Le Musicien, La Mort, Le Diable de PL Riva.
Aura a par la suite joué au prestigieux hôtel Miramar à Cannes, sous la direction d’Oscar Sisto dans
Le Songe d'une Nuit d'Eté, dans lequel elle fut Héléna.
Mais c'est devant la caméra que l'on retrouve le plus souvent notre comédienne. En effet, après plusieurs tournages pour L'ESRA, Aura tourne un grand nombre de courts-métrages notamment pour WelkinLights, sous la direction de Leah Marciano (
Paper Planes, Dustland, Saving Rain, Vampire(s)...), ainsi que pour Real Pics sous la direction de Julien Sekely et Emilie Richard (Parental Advisory, Strip my love, Juliette...).
Enfin, récemment on a pu la voir au théâtre dans la comédie musicale
Maison(s) Close(s) mise en scène par Olivier Schmidt. Sur ce spectacle, Aura était comédienne mais aussi assistante mise en scène. C’est à la suite de ce spectacle qu’elle se tourne vers la mise en scène.
Elle monte et joue actuellement deux spectacles :
Partage de Midi, de Paul Claudel, et Minutes, un spectacle poétique écrit par Nicolas Sandanassamy."

Les projets :

Un fan-film du comic-book Black Widow (vidéo-clip sur la chanson Lady Grinning Soul de David Bowie) qui pourrait aboutir sur un vrai film...

The Cinderella Girl (adaptation ciné de la chanson Cendrillon de Téléphone)
(Je suis profondément épaté de voir que Katsura a magnifiquement dessiné Aura !)

Chinatown Lady (un Thelma & Louise entre le 13ème arrondissement et Belleville)

Vidéo Girls (transposition française du manga de Masakazu Katsura écrite pour la télévision et le cinéma)
Et bien évidemment, bien d'autres choses encore...

Et voici quelques jolies images (hélas, il n'y a pas d'extraits de vidéos Youtube à mettre - Blogsport refuse les vidéos Dailymotion):
 
Aura Star de la Croisette !
 
Ce si joli Sourire !
 
Massacrée pour les besoins de Paper Planes
 
Aura ou la "Diva" du Dancefloor
 
De si joli Matin !
 
Une Beauté à faire réveiller les morts !

Y a pas à dire, Blonde, Brune, Rousse, Châtain ou Bleue, mutine ou mélancolique, Femme-Enfant ou Femme Fatale, cette magnifique Baby Doll demeure l'une des meilleures
rencontres que j'ai jamais eu dans ma vie.

Bon, c'est pas tout ça, mais on se met au boulot ou bien... ?! (Avis aux directeurs de Castings !!!)

FILMOGRAPHIE (incomplète) :
- Vampire(s) : Leah Marciano
- Saving Rain : Leah Marciano
- Parental Advisory : Julien Sekely et Emilie Richard
- Dustland : Leah Marciano
- Strip my Love : Julien Sekely et Émilie Richard
- Paper Planes : Leah Marciano
- Juliette : Julien Sekely et Maxime Pouyane 
- Black Widows : Mohamed Bouaouina

Merci de ton amitié et de ton soutien, ma Baby Doll !

Photos : Leah Marciano, Juri Kim, Aurélien Annonier et Nicolas Sandanassamy

dimanche 6 mars 2011

SALUTATIONS !

Pour faire très simple, je copie-colle ma présentation de mon autre blog (Hard Boiled) :

"Je me présente, El Yamin Mohamed Bouaouina dit Momo pour les amis. Cinéphage irrécupérable voulant devenir cinéaste. Je fais parti de cette race qu'est les "Geeks". Je suis apparu dans le documentaire de Tristan Schulmann et Xavier Sayanoff ; SUCK MY GEEK. Une expérience enrichissante qui m'a permis d'être reconnu par bon nombre de personnes et de pourvoir faire avancer certains projets laissés en mode "pause". Sinon, j'ai écris quelques piges pour Mad Movies (précisement les N°195, le 199 et le déjà mythique 200, plus le Hors-série Jeux-Vidéos) et aussi pour l'excellent site Eigagogo.
[...]
Donc, bienvenue dans mon antre, où je vous ferai partager mes coups-de-coeur, mes coups-de-gueule, vous faire part de projets cinématographiques, de textes, de conneries (si c'est bien quand c'est moi qui les écris, c'est encore mieux quand c'est vous qui les lisez)...

Bref, bienvenue et au plaisir... 

Momo" Écrit le 13 Juillet 2008 (jour de création du de l'Over-Blog)

Petite précision sur ce blog estampillé Blogspot, le premier (l'Over-Blog) sera plus centré "geek" alors que ce blog-ci sera clairement centré sur mes projets (imaginaires ou réels), les influences, les B.O.'s, le contexte de création...

Au plaisir d'avoir de vos commentaires !